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En novembre 2011, Nepteam reprenait Chantier Naval Couach. Le constructeur girondin venait alors de vivre une période de fortes turbulences. Une décennie plus tard, après une longue transformation et un nouveau trou d’air il y a deux ans, l’entreprise a enchainé les succès et connait de nouveau une activité très soutenue. Misant sur l’industrialisation de sa production et les développements technologiques, Couach compte notamment soutenir son développement avec la construction d’une nouvelle nef ultramoderne sur son site de Gujan-Mestras. Mer et Marine fait le point avec Florent Battistella, président de Couach et de Nepteam.

MER ET MARINE : Couach a traversé une période délicate ces dernières années avant d’entreprendre un redressement assez spectaculaire. Où en êtes-vous aujourd’hui ?

FLORENT BATTISTELLA : Quand nous sommes arrivés, nous avons établi une stratégie en cinq points : le développement intensif de la technologie ; mettre en place un modèle de production performant à l’image de l’industrie automobile ; une forte volonté d’être écoresponsable dans nos produits mais aussi dans notre façon de travailler ; penser à nos équipes qui in fine font la différence, en travaillant sur notre état d’esprit collectif et en donnant du sens à ce que nous faisons, et à la manière dont nous le faisons ; et enfin toujours penser à se diversifier. Tout cela a pris du temps et il nous a fallu passer des périodes difficiles, mais nous en sommes sortis.

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