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Le cyclone tropical Pam, qui a frappé l'archipel du Vanuatu et touché également les îles Salomon, pourrait être l'une des pires catastrophes naturelles de l'histoire du Pacifique, a déclaré ce samedi Vivien Maidaborn, dirigeante de l'Unicef Nouvelle-Zélande. La Nouvelle-Calédonie a été épargnée.

09H37. Des dizaines de morts au Vanuatu Le très violent cyclone tropical qui a frappé l'archipel de Vanuatu et, selon des informations encore partielles samedi, pourrait représenter l'une des pires catastrophes naturelles du Pacifique Sud, avec des dizaines de morts et d'énormes destructions.

08H55. La Nouvelle-Calédonie relativement épargnée Le puissant cyclone Pam qui est passé samedi à l'est de la Nouvelle-Calédonie n'a pas engendré de dégâts majeurs et le premier bilan est "plutôt rassurant", selon Olivier Ciry, porte-parole de la direction de la sécurité civile. "La trajectoire du phénomène nous a plutôt porté chance", a-t-il ajouté. La gendarmerie de Maré, île de 5.900 habitants, a indiqué qu'une houle avec des creux de 5 à 7 mètres, des trombes d'eau et des rafales de vent à plus de 100 km/h étaient observés.

06H30. Des nouvelles alarmistes de l'archipel du Vanuatu et es îles Salomon Un très violent cyclone tropical a frappé l'archipel de Vanuatu, dans le Pacifique Sud, et selon les informations encore partielles disponibles ce samedi matin, il pourrait avoir causé d'énormes destructions et des dizaines de morts. "Quinze ou trente minutes de terreur absolue", c'est ainsi qu'Alice Clements, une responsable de l'Unicef sur place, a décrit le passage sur le Vanuatu de Pam, un cyclone de catégorie 5 (la plus élevée).L'étendue des destructions était impossible à évaluer précisément samedi, les communications ayant été coupées dans une grande partie du Vanuatu lorsque le cyclone a frappé de plein fouet l'archipel cette nuit, avec des vents atteignant 330 kilomètres/heure. "Nous avons pu voir des victimes, (il y a) potentiellement un nombre important de victimes, mais nous ne savons pas encore" quelle est l'ampleur du bilan, a déclaré  Sune Gudnitz, chef du bureau des Nations unies pour la coordination des affaires humanitaires (Ocha) dans le Pacifique. "Il semble qu'il y ait des destructions très étendues. Il y a des décombres dans les rues et des inondations étendues", selon M. Gudnitz.

Un article de la rédaction du Télégramme

 

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