Pas moins de 20 rouliers au GNL d'une capacité de 7000 véhicules, devraient prochainement être commandés par les trois armateurs japonais NYK, K-Line et MOL. A l'origine de ce plan, estimé à près de 1.8 milliards de dollars, se trouve la volonté de Toyota d'utiliser des navires plus vertueux sur le plan environnemental.
Le groupe automobile japonais s'est fixé des objectifs stricts dans la réduction de son bilan environnemental d'ici 2020. Actuellement, il utilise environ 60 voituriers par mois pour transporter sa production.
Les chantiers nippons, avec notamment Mitsubishi, Kawasaki, Imabari et Japan Marine United, sont déjà sur les rangs pour décrocher ces commandes, dont les premières ne devraient pas tarder. Pour le moment, seul UECC exploite des navires propulsés au gaz naturel liquéfié.