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Le groupe naval français s’enrichit d’une nouvelle division baptisée « Energies Infrastructures Marines ».  Celle-ci regroupe les activités de DCNS dans les énergies marines renouvelables (éolien flottant, hydrolien, houlomoteur, énergie thermique des mers), le nucléaire civil et les nouveaux services, comme l’assistance à la conception et la construction de centrales électriques terrestres, ainsi que de bases et de chantiers navals.

Energies Infrastructures Marines regroupe 650 collaborateurs de DCNS, dont une centaine appartenant à sa filiale irlandaise OpenHydro, spécialisée dans les hydroliennes. Dirigée par Thierry Kalanquin, auparavant patron de la division Services, EIM est « basée » dans les bureaux du groupe à Issy-les-Moulineaux, où travaillent depuis plusieurs années déjà des équipes dédiées au secteur des énergies marines. La nouvelle division compte également des collaborateurs sur les différents sites impliqués dans les activités qu’elle gère, par exemple Brest et Nantes-Indret.  

 

 

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© DCNS

Thierry Kalanquin (© : DCNS)

 

 

Pour mémoire, le groupe, dont les effectifs atteignaient fin 2013 13.648 équivalents temps plein, dont 12.924 en France, comptait jusqu’ici trois divisions : Systèmes navals  de surface, Sous-marins et Services. L'émergeance d'un nouveau pôle illustre la volonté de DCNS de développer ses activités dans les énergies et nouveaux services, qui doivent constituer, selon le plan stratégique Championship, son troisième grand pilier, en complément du naval en France et à l'international. La nouvelle organisation doit également permettre une meilleure efficacité des moyens consacrés à ce domaine. 

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