C'est une vraie révolution, permise par la technologie numérique : grâce au big data, un gars devant son ordinateur à Plouzané peut fournir des données plus précises que celle obtenues par les satellites de la Nasa ». Yann Guichoux, fondateur d'eOdyn, en est persuadé : sa technologie ouvre une réelle rupture par rapport aux actuelles sciences de l'art, héritées de la fin des années 60. « Et je suis persuadé qu'elle va s'imposer. Car pour la première fois, on est capables d'imager les courants de surface en temps réel, à un coût très réduit ». Jusqu'à présent, les courants marins étaient observés par des bouées dérivantes, des radars HF,
